Je termine ici le résumé de mes notes, prises lors du Colloque Montherlant organisé par Patrick Brunel à l'ICP.
Mes recherches en complément de ces compte rendu me conduisent à compléter ou corriger ces articles au fur et à mesure des lectures, j'effectue également quelques corrections lors de réception de courriels, donc n'hésitez pas à commenter.
Il ne sera peut-être pas juste de moins m'étendre sur certaines conférences que sur d'autres, mais il s'avère que ma prise de notes n'avait pas pour but de faire un résumé, mais de relever des points qui m'ont parus nécessiter soit une réaction, soit un approfondissement, servir de références ou de voies d'exploration. Je compte sur la publication des actes pour entrer dans le détail des exposés.
Lors du colloque de la Sorbonne, le professeur Schaffner, qui avait assuré dans ses locaux une partie de l'intendance, était assisté par certaines de ses étudiantes doctorantes dont Marie Sorel. Elle était présente dans cette séance aussi et continuait par un exposé à nous dévoiler les chemins de sa recherche sur le "Jeu". Après la lecture, comparée de Montherlant et Roger Vailland à la Sorbonne, elle nous entraîne sur la lecture comparée de Henry de Montherlant avec Jean Genet à travers leurs écrits quasi autobiographiques sur leur jeunesse Les Garçons et Miracle de la rose, récits qu'elle a qualifié de confessions fantaisistes. Par ces rapprochements en lectures comparées, Mademoiselle Sorel nous fait découvrir une démarche d'écriture, une démarche d'embellissement du souvenir qui redonne de l'intérêt à la relecture des oeuvres, et de la suivre dans la lecture d'autres écrivains. Je n'ai pas relevé de qui était cette citation "Ce n'est pas vrai ce n'est pas faux, ce n'est que de la poésie".
(à suivre)
Marie Sorel a présenté sa thèse en décembre 2013, elle pense bientôt l'éditer.