Monsieur Duroisin a eu la faveur de lire plusieurs manuscrits d'enfance de Montherlant.
Ses interventions dans les colloques auxquels j'ai pu assister, nous avaient permis d'apprécier ce travail et ma fréquentation des correspondances et diverses manuscrits ou épreuves corrigées de l'auteur, me laisse pensif sur le temps nécessaire au déchiffrage, bien qu'en l'occurence il s'agisse d'ouvrages "édités" donc probablement calligraphiés avec soin et plus lisibles.
La lecture récente de l'étude de Monsieur Pierre Duroisin sur un tel ouvrage de jeunesse "NADIA" (article paru dans Les Lettres Romanes vol 65 n° 1-2 (2011), pp 87-149) complète heureusement nos échanges sur Quo Vadis.
La transcription de "l'édition de 1907 et 1908 de Montherlant", est assortie des explications nécessaires et aux verifications des sources utilisées par le jeune élève de 9 à 12 ans.
J'ai fait une exploration des deux autres ouvrages "repérés" par Monsieur Duroisin, le cours d'histoire d'Albert Malet, le livre d'aventures de Léon Cahun.