Dans ce recueil sur le motif de la peinture de bouquets, cette reproduction du tableau de Mariette Lydis.
Signé Lydis, Paris, on peut le situer dans la période 1935 1938, mais la recherche est lancée.
Les commentaires de l'auteur du livre d'une "galaxy of flower painting" accompagnent les 48 peintures sélectionnées parmi les plus grands peintres sur ce thème.
The Studio était un magazine anglais sur l'art fondé en 1893, un numéro comportait en 1935 un article sur Mariette Lydis, à partir de 1965 seule fut diffusée une version "Internationale". Parallèlement la maison éditait des ouvrages, c'est le cas ici sur le sujet du bouquet de fleurs, sous la plume de son directeur d'après guerre GS Whittet. Les dernières publications datent de 1989, le magazine disparut en 1993. Les droits et les archives sont gérés par la Fondation Studio International dont le siège est à New York. Depuis 2000 des articles sont diffusés sur le Web, et une édition annuelle le "Yearbook" reproduit une sélection d'articles.
Leicester-Square où siégeait au 44 "The Studio" jusqu'au bombardement du 14 octobre 1940, représentait le centre culturel de Londres, c'est sur cette même place que Mariette avait exposé aux "Leicester Galleries" en février 1934 et 1939, c'est d'ailleurs là qu'elle avait rencontré Erica Marx. Sur la liste des catalogues de la Galerie on note que les expositions ont été constantes malgré la guerre, juste celle de Novembre 1940 (N731) fut dédiée aux services d'incendie de la ville, flegme et courage britanniques? .
About Studio, Studio International
Studio was first published in April 1893 under the title The Studio: An Illustrated Magazine of Fine and Applied Art. It rapidly established itself as one of the most successful fine art periodicals
http://www.studiointernational.com/index.php/about-studio-history
"The lilies that bloom in this bowl have an evanescent silvery sheen that gives an ethereal, unwordly atmosphere to the picture. The texture and colour of the mist of the artist's powers, transforming a mundane bouquet into a fairytale fantasy that has only borrowed a pretence from reality. The key of the colour scheme is subdued, yet so skilful is the contrivance of highlights and shadows that the rectangular enclosure seems but an accidental framing of the scene. This trick of advancing the forground brings a painting full of mystic notes into the field of vision with a boldness that compels attention. "
essai de traduction: