Si Jeanne Sandelion, prétendait être un modèle de jeune fille de Montherlant, sa correspondance en est bien la preuve et Costals ne s'est pas contenté d'écrire ce qui est narré dans le roman. A preuve: plus de 295 lettres, cartes, mots adressés de 1923 à 1964 à la pauvre admiratrice, qui avait toutes les raisons de croire qu'elle était désirée.
Début de son Journal (recopié, adressé à Montherlant)