Un échange de courriers entre Edmond Saint, éditeur à Buenos Aires et le comte Giuseppe Govone, époux de Mariette Lydis, sollicité pour ses avis et conseils dans cette édition de luxe de la nouvelle "L'enfant de la haute mer". Mon exemplaire (Hors Commerce...
Lire la suiteJ'ai su d'une mère japonaise qui disait à ses cinq enfants très aimés, lorsqu'ils s'absentaient: surtout ne m'écrivez pas, je ne veux pas m'émotionner. Quelle sagesse! Il est en général désagréable de recevoir des lettres. Les unes sont sans aucun intérêt,...
Lire la suiteEncore un note à la machine dans les "files" des archives Mariette. En marge, de sa main Argentine 1948 Mariette Lydis, raconte, avec recul ses rencontres, ses sentiments, elle observe les nouveaux citoyens avec qui elle sympathise dans son nouveau pays...
Lire la suitePâle enfant, fleur chétive des bois, je connais le lieu où poussent tes racines,C'est le lieu de la première solitude vivant, immobile au creux de la mémoire. Dans un temps à la lisière du temps j'ai senti ton visage ourlé d'humides corolles rafraîchir...
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Ma quête d'informations sur Mariette Lydis, alors que l'internet n'était encore que peu développé, m'avait convaincu d'adresser un message au musée des Beaux-arts de Buenos Aires. Quelques mois plus tard, j'ai reçu un premier mail d'un visiteur assidu...
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